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Les vitraux de la cathédrale

1500 mètres carrés de vitraux des XIIIè au XIXè siècles éclairent la cathédrale, en faisant un monument unique à la gloire des maîtres verriers sur plus de sept siècles. On trouve dans le choeur et les chapelles rayonnantes de l'abside les plus anciennes verrières, dont la création remonte aux années 1200-1240. L'art de photographier les vitraux m'est inconnu, aussi les clichés ci-dessous ne sont présentés que dans le but de donner une idée des richesses et de la variété des vitraux de la cathédrale...


Baies des Chapelles rayonnantes

Elles datent toutes du XIIIè siècle, et évoquent la vie du Christ, de la vierge et des Saints. Elles ont été restaurées au milieu du XIXè siècle par un verrier Troyen, Vincent Larcher.

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Hautes verrières

Les vitraux du triforium et les hautes baies de l'abside datent elles aussi de la première phase de construction de la cathédrale au XIIIè siècle. Les hautes verrières de la nef sont moins anciennes, tel l'arbre de Jessé qui date de la fin du XVè siècle. La grande rose de l'extrémité sud du transept date elle de 1844. Cliquer pour agrandir Cliquer pour agrandir Cliquer pour agrandir

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Nef ; verrière des apôtres, XIVè siècle

Les thèmes abordés par les verrières sont variés, et ne sont pas présentés dans un ordre particulier. On trouve bien-sûr de nombreux thèmes bibliques, choisis plus souvent par les généreux donateurs que par un maître d'oeuvre responsable d'une quelconque cohésion... On notera la représentation des évêques troyens dans les hautes verrières du choeur, ainsi que les reliques de la quatrième croisade.

Les vitraux de Linard Gonthier

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On trouve bien sûr le célèbre maitre verrier troyen dans les baies de la cathédrale. On lui doit la verrière du pressoir mystique, 1625 (ci-contre à gauche), ainsi que les vitraux de l'immaculée conception, rapportés de la collégiale Sainte Etienne à sa destruction en 1792.

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